Passer aux informations produits
1 de 3

Ponceuse électrique Pro

Ponceuse électrique Pro

Prix habituel CFA9,900 XOF
Prix habituel CFA20,000 XOF Prix promotionnel CFA9,900 XOF
Promotion ÉpuisĂ©
Quantité

🌾ContaminĂ©e en salon de beautĂ© : son cauchemar commence avec une lime partagĂ©e"🌾

e m'appelle Vanessa. J’ai 26 ans et je vis Ă  Abidjan. Comme beaucoup de filles ici, j’adore prendre soin de moi. Les ongles, c’est mon petit plaisir : aller au salon, choisir ma couleur, me faire limer avec soin
 C’était mon petit rituel du samedi.

Mais il y a quelques mois, ma vie a basculé.

Un jour, aprĂšs une sĂ©ance de manucure, j’ai commencĂ© Ă  ressentir une douleur Ă©trange au niveau de mon ongle du pouce. Au dĂ©but, je n’y ai pas trop prĂȘtĂ© attention. Je me suis dit que c’était une coupure, ou peut-ĂȘtre un petit choc.

Mais la douleur a empirĂ©. L’ongle est devenu rouge, gonflé  Puis, la fiĂšvre est arrivĂ©e.

AprĂšs plusieurs examens, le verdict est tombĂ© : j’avais contractĂ© une infection grave à cause d’un matĂ©riel non stĂ©rilisĂ©. L’infection s’est propagĂ©e. J’ai dĂ» ĂȘtre hospitalisĂ©e pendant plusieurs jours. Antibiotiques, perfusions, pansements
 tout ça pour une simple sĂ©ance de manucure. Une expĂ©rience qui devait me faire du bien a failli me coĂ»ter l’usage d’un doigt.

J’étais choquĂ©e. Et surtout, j’étais en colĂšre. Comment est-ce qu’on peut encore partager des limes Ă  ongles, des outils intimes, sans les dĂ©sinfecter correctement ? Combien d’autres filles comme moi risquent leur santĂ© sans le savoir ?

C’est lĂ  que j’ai pris une dĂ©cision simple, mais radicale : plus jamais ça.

Depuis ce jour, j’ai ma propre lime Ă  ongle Ă©lectrique. Elle est Ă  moi seule, je la transporte partout, et je sais qu’elle est propre. Je n’ai plus peur. Mieux encore : j’ai commencĂ© Ă  en parler autour de moi. Mes copines, mes collĂšgues
 elles Ă©taient toutes choquĂ©es de mon histoire. Et devinez quoi ? Aujourd’hui, on est de plus en plus nombreuses Ă  avoir notre propre lime personnelle.

Ce n’est pas qu’une question d’esthĂ©tique. C’est une question de santĂ©, de sĂ©curitĂ©, de dignitĂ©.

Et si mon histoire peut ouvrir les yeux Ă  d’autres femmes Ă  Abidjan et ailleurs, alors elle n’aura pas Ă©tĂ© vaine.

 

 

 

Afficher tous les détails